Paul BIYA, Plus Qu'une Grossière Représentation du Vieux Roi Nègre

Publié le par Joel Didier ENGO

"Le Gourou de la secte qui donne l’impression d’être en conflit ouvert avec son fils serait son guide spirituel, son conseiller politique, et son financier pour la conquête de la magistrature suprême..." (Dixit, "L’INDEPENDANT et LA NOUVELLE" 23 DEC. 2009)

Qu'est-ce qu'on n'écrira pas dans ces feuilles de chou camerounaises, pour s'attirer les faveurs du tyran?

Sommet de Copenhague : Les Chefs d’Etats du Bassin du Congo autour du Président Sarkozy à Paris

Alors l'éminent universitaire Mathias Nguini ne serait autre qu'un agent (déguisé) de son gourou de père, le Professeur Joseph Owona, dans "la conquête" qui leur est prêtée de la "magistrature suprême"?


Si tenté que cette grotesque accusation soit avérée, représenterait-elle un crime dans une "démocratie" qui se prétend "apaisée"?

A l'évidence ce régime touche le fond de l'abîme, et ne parvient véritablement plus à faire la part entre les convictions ou ambitions politiques, et la rigueur de l'analyse intellectuelle.

Mais à force d'instrumentaliser de la sorte le complot ourdi par de vilains "G11, Essingan et autres Brutus" à l'approche des holds up électoraux, il a fini par se livrer à l'opinion nationale et internationale dans son plus simple appareil: l'incompétence notoire du prince.

En effet aucun camerounais, fût-il son pire détracteur, n'a pu se réjouir de le voir incapable d'articuler la moindre analyse sur le dérèglement climatique lors du mini-sommet sur le bassin du Congo de l'Elysée.

C'est à croire que finalement, à force de couper toutes les têtes pensantes qui dépassent depuis 27 ans, Paul BIYA a fini par n'être qu'une grossière représentation du vieux nègre inculte, vissé autoritairement sur son trône, ne lisant ou ne recevant plus aucune note sur des sujets d'importance.

De grâce Messieurs, épargner Eric Owona Nguini de vos conspirations initiatiques et purement alimentaires. Il nous a jusqu'ici largement démontré qu'il savait s'en passer.

Merci




"Essingan" ou "groupe Brutus" pour succéder à Paul Biya en 2011 ?
 
 
YAOUNDE - 23 DEC. 2009
© CIN YAOUNDE | Cameroon-Info.Net
 
http://www.cameroon-info.net/reactions/@,25865,7,essingan-ou-groupe-brutus-pour-succeder-a-paul-biya-en-2011.html
Alors que s’approche la date officielle de la prochaine élection présidentielle au Cameroun, des manœuvres, visibles et invisibles, parfois révélées par la presse sans toutefois avoir la certitude de leur véracité, se multiplient.
 
Si dans le RDPC, les choses se précisent de plus en plus avec l’appel de Paul Biya, pas facile de savoir ce qui se passe en face. Il est tout au moins évident que là-bas aussi on ne dort pas.

« L’indépendant », un hebdomadaire d’enquêtes, d‘analyses et de sondages vient de déceler un nouveau groupe organisé pour rendre le pouvoir en 2011. « Essingan » c’est son nom. Il s’agirait d’une « secte » dont la tête de proue serait Joseph Owona, ancien ministre SG de la Présidence de la République sous Paul Biya. « Nostradamus» comme on l’appellerait a avec lui Philippe Mbarga Mboa, lui aussi ancien ministre des Sports, Gilbert Tsimi Evouna alias Jack Bauer, le très contesté Délégué du Gouvernement auprès de la Communauté urbaine de Yaoundé, et Mathias Eric Owona Nguini, le fils de l’autre, un universitaire pertinent, parmi les meilleurs analystes politiques du moment au Cameroun.

« Essingan » serait donc, si l’on en croit une certaine presse, l’organisation redoutable qui s’apprête à prendre les rênes du Cameroun en 2011. Leurs motivations tiendraient d’une certaine vengeance pour la plupart, qui se sont vus écarter de la mangeoire. La « confrérie » qui dit avoir caché Paul Biya sous son aile pendant les périodes troubles ayant suivi son avènement à la tête de l’Etat, voudrait récupérer « son pouvoir ».

Plan secret

Dans leur démarche, les membres du fameux « Essingan » ne manqueraient pas d’imagination pour brouiller les cartes. Le « Groupe Brutus » présenté ces derniers temps comme celui qui a détrôné la nébuleuse « G11 » dans la quête du pouvoir serait leur fabrication. Il serait une coquille vide ou un épouvantail derrière lequel se cache le vrai groupe. La stratégie ici étant d’instrumentaliser certaines personnalités comme membres d’un groupe organisé multi-tribal prêt à succéder à Paul Biya.

Les initiés de cette secte, selon les mêmes sources multiplieraient des réunions nocturnes avec des incantations des loges noires, moments pendant lesquels ils partageraient des repas mystiques.

Il y aurait par ailleurs comme une diversion. Le Gourou de la secte qui donne l’impression d’être en conflit ouvert avec son fils serait son guide spirituel, son conseiller politique, et son financier pour la conquête de la magistrature suprême.

Des informations, faute de preuves véritables, dont la véracité reste à démontrer.


Sources: L’INDEPENDANT et LA NOUVELLE
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